Nouveau : Don't
leave me this way. Medea version
Reçu de Graz...en
Allemand ou en Italien !
Nouveau
: Du 10 au 15 juin, Rencontre Graz / Bucarest / Joué les Tours au
Plessis
Comenius
Nos correspondants Comenius de Bucarest, Graz et Nola
travaillent avec nous sur ce thème : COMMUNIQUER PAR LES ARTS ( Communicating
through arts ).
Notre partenaire, la Compagnie José Manuel Cano Lopez nous a mis en relation
avec des lycéens de Grenade qui travaillent eux aussi sur Les Monstres de
l'Histoire : Barbe bleue, Lope de Aguirre, Nosferatu.
Avec tous ces correspondants, nous échangeons des impressions. Cette page est le forum de nos échanges.
Grenade,Autriche,
Adresse d'e mail : arts@oeversee.asn-graz.ac.at
Bucarest,
Adresse d'e mail : lazar@emoka.ro
Plessis,
Adresse(s) d'e mail : plessis-theatres@micro-video.fr
Italie,
Adresse d'e mail : rosemail@tin.it
Reçu de Nola :
A PROPOS DU THEATRE
Des observations récentes ont relevé que les jeunes et les adultes, un peu
pour manque de temps, un peu pour manque d’intérêt, ne dédient pas beaucoup
de temps aux représentations théâtrales.
Les jeunes, surtout, sont convaincus qu’assister à un spectacle théâtral
est ennuyeux, pour cela ils se sont éloignés de ce monde, que j’estime
séduisant et surtout éducatif.
Notre école, par l’intérêt de quelques professeurs, a cherché de nous
approcher au théâtre et ont été organisées des sorties didactiques qui nous
ont permis d’assister à des représentations théâtrales d’auteurs
inscrits dans notre programme scolaire. Celles-ci étaient jouées par des
jeunes acteurs français et cela a été très intéressant, car l’approche
directe avec la langue étrangère étudiée aide encore plus dans l’étude de
la langue même. A cela il faut adjoindre qu’assister à la représentation d’une
œuvre d’art, dont on ne connaît le sujet qu’à travers le livre de texte,
c’est un fait, pas seulement très éducatif, mais assurément valable du
point de vue culturel.
Une des représentations la plus récente que nous avons vue
est
« Le malade imaginaire » de Molière.
Molière occupe une place très importante dans l’histoire du théâtre
français, ses œuvres puisent directement du filon populaire du réalisme
burlesque qui a ses racines dans le théâtre médiéval, puis dans la «
commedia dell’arte » italienne.
La pièce commence avec Argan, qui seul dans sa chambre fait les comptes des
traitements lui prescrits, par son médecin, M. Purgon et fournis par son
apothicaire. Il appelle sa fille Angélique et il lui dit qu’on l’a
demandée en mariage, il s’agit de M. Diafoirus, neveu du médecin Purgon,
médecin lui-même. Si Angélique refuse ce mari, elle ira au couvent. Toinette,
la servante, manifeste son opposition à ce mariage ridicule. Toinette le jour
après s’entretient avec le beau jeune-homme qu’aime Angélique et qui l’aime
: Cléante, qui est un maître de musique. Angélique est très surprise de voir
Cléante. Argan qui n’est pas au courant de l’amour entre les deux jeunes,
communique à Cléante qu’il va marier sa fille au jeune Thomas Diafoirus, il
l’invite même à la noce.
Un peu plus tard Bèralde, frère d’Argan, promet à Toinette de faire tout ce
qui est en son pouvoir pour aider Angélique et empêcher son mariage avec
Diafoirus ; Toinette, à son tour, lui annonce qu’elle a préparé un tour à
sa façon.
Dans la scène 9, Toinette déguisée en médecin fait un diagnostic contraire
à celui de M. Purgon, qu’elle qualifie d’ignorant, et déclare que le seul
traitement à appliquer pour guérir le mal dont souffre Argan est l‘amputation
d’un bras et la destruction d’un œil.
Dans la scène 12 Toinette suggère à Argan de se feindre la mort, cela pour
montrer à Béralde l’amour que Béline, sa femme, lui porte. Mais l’effet
est inattendu : Béline, en apprenant la mort de son mari, remercie le Ciel de l’avoir
libérée d’un homme : « malpropre, dégoûtant…mouchant, toussant,
crachant toujours, sans esprit, ennuyeux, de mauvaise humeur, fatiguant sans
cesse les gens, et grondant jour et nuit servantes et valets ". La «
résurrection » d’Argan, qui finalement comprend la méchanceté de sa femme,
fait fuir Béline.
Même stratagème, mais réaction très douloureuse d’Angélique et Cléante.
Argan se relève et manifeste sa joie devant tant d’amour filial. Il consent,
alors, à donner Angélique à Cléante si celui-ci se fait médecin. Cléante s’y
dit disposé, mais Béralde a une idée meilleure : c’est Argan lui-même qui
va devenir médecin. On va, donc, lui préparer une belle cérémonie d’initiation.
Le spectacle terminé, il y a eu un bref débat avec les acteurs. Nous avons
demandé s’ils avaient eu des problèmes dans la réalisation du spectacle.
Ils nous ont répondu que cela n’a été pas difficile car la pièce était
très intéressante et le sujet très amusant.
Après nous avons demandé s’ils avaient travaillé ensemble pour la
réalisation du décor et des costumes et s’ils avez dû faire quelques
réadaptations pour les dialogues, vu que la pièce était adressée à des
étudiants.
Ils nous ont dit qu’ils ont travaillé en équipe et que les dialogues sont
restés intègres, parce que les pièces de Molière sont compréhensibles à
tout les monde, surtout à cause de leur actualité.
C’est ça, nous avons pu constater que le sujet du « Malade imaginaire » est
très actuel, en effet combien de M. Purgon, combien de M. Diafoirus
rencontrons-nous presque tous les jours ?
Combien de personne ont besoin de se feindre malades pour avoir un peu plus d’attention
?
Nous conseillons, si l’on a l’occasion, d’aller voir ce spectacle, parce
qu’on peut s’amuser beaucoup, mais surtout parce que il fait réfléchir.
Vetrano Maria
Ardolino Carmela
Coppola Maria
Napolitano Rachele
Itri Maria
Basile Anna
(Elèves de 5ème classe)
Reçu de Graz :
Alle Jäger Danke!
Das Stück. (K)ein Stück?
Plot:
Das Stück "Alle Jäger Danke" hat eigentlich kein wirkliches Thema, das durch alle Szenen hindurch erkennbar gewesen wäre. Vielmehr hat jede Szene ihr eigenes Thema. Trotzdem gibt es zwei Themen [1. Alltägliches Leben; 2. Emotion], die verstreut über das ganze Stück immer wieder kehren.
Komplott:
Da wir "Alle Jäger Danke" im Rahmen des steirisc[her]bst besuchten,
konnten wir ja eigentlich kein herkömmliches Stück erwarten [herkömmlich =
Aristoteles]. Was wir aber schließlich präsentiert bekamen, war noch viel
abstrakter und verwirrender als erwartet. Die Szenen reihten sich nicht nach
einem logischen Handlungsaufbau, das Stück begann mit dem Ende, es hätte aber
wahrscheinlich auch keinen Unterschied gemacht, hätte das Stück chronologisch
begonnen, es gab nämlich keine Chronologie. In jeder Szene war eine eigene
Botschaft verpackt. Für uns eine total neue Art des Theaters, die völlig auf
die bisher verwendeten Element verzichtet.
Kompott:
Das Resultat war schließlich ein fast unüberschaubarer "Wirr-Warr"
aus Schauspielern, Bühnenbildern, Schauspielern, Szenen, Schauspielern,
Emotionen, Schauspielern, IKEA-Möbeln, ...
(Jeremic Dalibor, Nicoletti Stefan, Rath Julia, Sandner Leander)
Begriffsdefinitionen
Steirischer Herbst: Ein seit rund 30 Jahren stattfindendes Festival
avantgardistischer Kunst in der Steiermark mit zeitgenössischen Werken der
Literatur, des Theaters, des modernen Musiktheaters, der instrumentalen Musik
("Musikprotokoll"), der bildenden Kunst sowie verwandter Sparten..
Avantgarde: (wörtlich: Vorhut) Neue, noch nie dagewesene Kunst; Innovation.
Im aktuellen Beispiel bedeutet das, dass die Akteure vom traditionellen Theater
entfernt eine neue Form der theathralischen Darbietung zu entwickeln versuchen (das
reicht von Abstraktem bis zu Provokantem).
Improvisationstheater: Die Akteure lernen keinen Text, sondern improvisieren
spontan zu abstrakten oder konkreten Vorgaben immer neue Szenen, d.h. sie machen
Theater, dessen Spielverlauf sie im jeweiligen Augenblick erfinden.
(Drescher Markus, Faßwald Jörg)
Beschreibung einiger Szenen aus „Alle Jäger danke"
Eine der besten Szenen des Stücks war die Anfangsszene: alles dunkel; nur ein Scheinwerfer beleuchtet die Bühne. 5 Personen betreten langsam und neutral die Bühne; sie bleiben außerhalb des Lichts stehen; man sieht nur Umrisse, welche das Publikum mustern; 2 Personen gehen langsam weiter; Person A bleibt im Licht stehen, Person B geht weiter und bleibt wieder außerhalb des Lichtkegels stehen; Person A spricht zum Publikum, bedankt sich für die Aufmerksamkeit, die Geduld und die Präsenz des Publikums; verabschiedet sich; der Rest der Gruppe nimmt inzwischen abstrakte Positionen ein; Schüsse, Schreie; Schüsse; Schreie; Schüsse; Schreie ...
Die Schauspieler, eine Schweizer und eine Grazer Gruppe,
waren sich beim Ausarbeiten des Stücks fast vollständig selbst überlassen,
und es wurde versprochen, den Unterschied zwischen fixierten und improvisierten
Szenen herauszuarbeiten. Das Ergebnis: scheinbar unzusammenhängende, teilweise
improvisiert wirkende Szenen. Mit herkömmlichem Improvisationstheater hat das
Ganze nicht viel zu tun, da die Technik der Improvisation der Erarbeitung der
Szenen gedient hat, während die Aufführung eine bereits (weitgehend?) fixierte
Form bietet.
Eine innovativ wirkende Spieltechnik ist etwa die rhythmisierte Absonderung
eigenartiger Laute, die im Zusammenhang mit dem gezielten Einsatz abstrakten
Gestikulation sowie von Lichteffekten auf einmal Sinn ergibt. Am Beispiel der
ersten, oben beschriebenen, Szene: ... der Rest der Gruppe nimmt inzwischen
abstrakte Positionen ein; Schüsse; Schreie; Schüsse; ... In Verbindung mit den
Lichteffekten hat diese Szene eine unglaubliche Dichte und Spannung erreicht,
eine Art Spielgrammatik oder besser Syntax, deren Aussage weitgehend im
Symbolischen liegt und somit - wie auch Musik - den Zuschauer stark
emotionalisiert.
(Hollerer Andreas, Jauk Emanuel, Rumpler Andreas, Sitzwohl Sandra, Trebuch Martin)
Der Titel bzw. Untertitel des Stücks: Was er verspricht, was er hält
Alle Jäger danke
Ein theatralisches Experiment zum Verhältnis von Individuum und
Öffentlichkeit: eine Art Ich-Jagd
Im Programmheft können wir lesen:
Das Zusammenspiel von Theatersportlern des Theaters im Bahnhof und den Schauspielern des Schweizer Klara Theaters verspricht eine Mischung aus Improvisationstheater und postdramatischer Avantgarde: Boulevardeske Komik trifft auf formale Strenge, politisch engagiertes Theater auf intellektuelle Reflexion, geordnetes Chaos auf chaotische Ordnung. Der Abend beginnt mit dem Schlussapplaus und das Stück wird von hinten aufgerollt.
Unsere Erwartungen?
Vielleicht ein erstklassiges, gesellschaftskritisches Stück, vielleicht eine Satire auf diverse politische Ereignisse und vielleicht eine Mischung aus einstudierten und improvisierten Szenen. Der Titel lässt Parallelen mit einer Jagd vermuten, die Ich-Jagd bedeutet wohl eine Art Selbstfindung.
Und wie ist es wirklich?
Das Stück ist aus einzelnen Szenen zusammengestellt, die allesamt einstudiert wirken, aber aus Improvisation entstanden sind. Der Inhalt dieser Szenen folgt zwei entgegengesetzten Entwicklungen. Die eigentliche Handlung wird von hinten nach vorne abgewickelt. So steht am Anfang ein fertiges Haus aus Styropor auf der Bühne, das nach und nach abgetragen wird. Die andere Entwicklung bezieht sich auf die emotionale Ebene. Diese ist zu Beginn gestört, baut sich jedoch im Laufe des Stücks auf, sodass Grundtypen von Beziehungen erkennbar werden.
(Schubert Michael, Hasiba Valentin)
Das "Stück" beschreiben: Inhalt / Form
Am Anfang ist nur Licht auf der Bühne, die Darsteller stehen noch abseits, kommen langsam, beobachtend, auf die Bühne. Als sie noch immer abseits - aber schon im Licht - sind, bleiben sie stehen, schauen sich weiterhin um, vor allem im Publikum. Als sie dann endlich auf der Bühne stehen, bedanken sie sich für unsere Geduld. Sie legen ihre Oberarme an die Ohren, wenigstens vier von ihnen, und benutzen sie als eine Art Empfänger, denn sie hören an ihren Armen, als ob sie etwas zu hören erwarteten außer der Musik, die schon den Raum erfüllt. Die restlichen zwei Personen stehen ruhig da, schauen sich um. Dann beginnt einer der beiden davon zu reden, dass das Buffet schon eröffnet sei, als After-Party nämlich. Die zwei, die sich schon vorher gleichzeitig für unsere Geduld bedankt haben, treten wieder gleichzeitig nach vor und sagen, dass das Stück noch nicht stattgefunden hätte. Wir glauben ihnen, denn es hat ja noch nicht richtig begonnen. Das Haus aus Porozellplatten hinter ihnen wird jetzt zerlegt, und das eigentliche Bühnenbild erscheint, es besteht aus einem Elch, einem weißen Baum(?), einem eineinhalbmannsgroßen, braunen Berg, einem Elch, denn Porozellplatten,... Jetzt beginnt die eigentliche Ich-Jagd, Einzeldarstellungen, Gruppen, Weinkeller, Karaoke, "Schlägereien", "Jemand-Anderen"-Jagden, Schizophrenien, "Spielchen" mit Schaufensterpuppen abseits der Bühne, Sex, Bier, Dialoge in kleinen Kartons mit Personen, die nicht da sind, Ikea-Regalen ("kinderleicht")...
(Trebuch Martin)
Don't leave me this way. Medea version
Die Improvisations-Schauspieler des Theater am Ortweinplatz (TaO!) führten ihre Version der antiken Medea – Geschichte mit sprunghaften Übergängen zu einer alltäglichen Sonntagsfamilie auf.
„Wenn du jetzt gehst, stürz' i mi ausm [ich mich aus dem] Fenster!" Dieser Ausruf von Marianne beschreibt am besten die Verzweiflung der allein erziehenden Mutter, die versucht an einem Sonntagnachmittag ihren zwei Kindern Matthias und Jana ihren neuen Freund Werner vorzustellen. Als zudem noch zögerlich klar wird, dass er vorhat bei ihnen einzuziehen, ist das die ausschlaggebende Wende von der netten Familie in die Krisenfamilie. „Einen Hund könnte ich mir vorstellen", ist die erste abweisende Reaktion Matthias'. Nach dieser Anfangsszene wird der Zuschauer mit der Besonderheit dieser Eigenproduktion konfrontiert, nämlich den „Switches". Ein kurzes „Freeze" – das heißt alle Schauspieler bewegen sich nicht mehr – untermalt von Licht- und Soundeffekten und plötzlich gleitet diese aufregende Geschichte in die alte Mythenwelt der Medea und des Jasons über. Diese beginnt mit dem Versuch Jasons das goldenen Flies von Medeas Vater zu bekommen, damit er den Auftrag seines Onkels Pelias erfüllt, um den ihm rechtmäßig zustehenden Thron zurück zu erlangen. Dafür muss er gegen einen wilden, blutrünstigen Stier und gegen zahlreiche, starke Eisenmänner kämpfen. Als es schon so scheint als sei er den Eisenmännern unterlegen, kommt ihm Medea zu Hilfe. Dann ein Switch. Matthias versteckt sich unterm Sessel und Marianne meint nur: „Da hast es, Werner, jetzt bockt er!" Der Streit geht so lange weiter bis Werner kurz davor ist, die Familie wieder zu verlassen. Doch dann ruft ihm Marianne mit dem Mut der Verzweiflung nach: „Heirate mich… Jason!" Und schwuppdiwupp befinden wir uns wieder in der Medea Sage. Inzwischen hat Medea Jason zur Flucht verholfen und fragt ihn ob er sie heiraten will. Er willigt zögernd ein und sie bekommen dann auch zwei Kinder. Dieses junge Familienglück hält nicht lange an, denn durch Medeas zickiges Verhalten („Du darfst keine anderen Frauen ansehen!"), treibt sie ihn direkt in die Arme der Prinzessin von Korinth, Glauke. Aus Zorn und Verzweiflung und dem Verlangen Jason so zu verletzen, wie er sie verletzt hat, tötet Medea ihre beiden, gemeinsamen Kinder. Zum Abschluss wird Medea unter dem Vorwand ihren Song „Don't leave me this way" präsentieren zu dürfen, in eine Talkshow eingeladen. Jedoch wird sie vom Moderator als Mörderin entlarvt und Medea attackiert ihn. Der letzte Switch. Jana attackiert Werner. Marianne nutzt all ihre Überredungskunst Werner davon abzuhalten ihre Tochter Jana anzuzeigen. Der Rest des Endes bleibt offen.
(Judith Galter, Bianca Kainer, Martin Trebuch)
Don't leave me this way
Medea version!
Nel pezzo teatrale "Don't leave me this way – medea
version" il "Theater am Ortweinplatz" crea un collegamento tra la
mitologia greca e la quotidianità di un piccolo nucleo familiare.
Il tema della coinvolgente serata resta comunque lo stesso su entrambi i livelli:la
ricerca dell' amore e della fortuna.
Una madre sola presenta ai suoi figli il suo nuovo compagno. Questi non ne sono
proprio entusiasti ma decidono comunque che vale la pena provare.
Più volte la protagonista passa dal mondo del mito al soggiorno di casa sua.
Una certa Glauke scrive a Medea, che è intanto in dolce attesa: "Ho una
relazione con tuo marito!" Effetto shock. Lacrime. Nel racconto mitologico
l'infelice innamorata fa una strage di famiglia.
Tuttavia: "The show must go on!"
Medea trasforma il dolore e la rabbia in creatività e compone una canzone di
grande successo. ("Don't leave me this way.")
Un originale lieto fine per un originale produzione.
La opinione di Bianca Kainer:
Questo pezzo teatrale non mi è piaciuto. Per questo ci sono tante ragioni. Mi sembra che gli attori abbiano recitato in modo esagerato. Ma non voglio dire che attori non siano stati bravi. Io non potrei recitare così bene.
La trama è stata strana.Soprattutto i cambiamenti di scena sono spesso stati inaspettati e perciò talvolta sono stata turbata. Insomma, tutta la sera ho pensato: "Che grande confusione."
La opinione di Dalibor Jeremic:
„Don't leave me this way – Medeaversion" mi è
piaciuto molto. Non sono sicuro perché! Ci sono molti punti positivi (ma anche
negativi!).
Forse mi è piaciuto perché non vado spesso a teatro, - vuol dire che per me
questo è qualcosa di nuovo. Ma forse mi è anche piaciuta l'idea, che sta alla
base:
Il collegamento tra la mitologia greca ( Medeaversion) e la quotidianità
di un piccolo nucleo familiare.
Quello che mi è sicuramente piaciuto sono i passaggi, che sono fatti con molta
creatività.
Tutto sommato, è stata una bella serata.
La opinione di Stefan Nicoletti:
"Don't leave me this way" è un pezzo teatrale di
qualità media. Gli attori sono stati abbastanza bravi, ma la trama è stata
confusa, poco originale e noiosa.
Lo scenario mi è piaciuto ed i passaggi fra "la storia quotidiana" e
"il mito greco" erano per lo più ben- fatti. Qualche volta invece
erano cattivi e non veramente divertenti.
Tutto sommato " Medea; Don't leave me this way" è un passatempo
ragionevole, se non si ha qualcosa di meglio da fare.
La opinione di Stefanie Wulz:
Non mi piace questo pezzo teatrale perché è stato molto difficile da capire. Una volta la madre è stata Medea è un'altra volta la figlia è stata Medea. Le scene sono state molto esagerate. Lo scenario era anche molto terribile perché c'erano solo due poltrone e un tavolo.Tutto sommato, se avessi saputo che "Medea" è un pezzo così noioso, non sarei andata a vederlo.
Reçu de Bucarest
Théâtre National "I.L. Caragiale"
Bucarest
Spectacle: Take, Ianke et Cadîr
Auteur: Victor Ion Popa
Impressions sur un spectacle
La premiere de la pièce appartenant à la dramaturgie roumaine "Take,
Ianke et Cadîr" écrite par Victor Ion Popa a eu lieu samedi, le 6 octobre
2001, au Théâtre National de Bucarest.
Le sujet de cette comédie porte sur les différences d’appartenance religieuse des trois personnages: Take est chrétien, Ianke est juif et Cadîr,
musulman.
Le fils de Take et la fille de Ianke s’aiment, mais ils doivent lutter contre
leurs parents qui, malgré leur amitié, ne peuvent pas approuver ce mariage.
Celui qui comprend mieux cet amour est Cadar, dont l’intervention est très
importante. Utilisant quelques ruses il réussit à convaincre les parents d’accepter
la relation entre Anca et Ionel.
Après deux heures de bonne humeur parsemée de larmes parfois, la pièce a une
fin heureuse: le mariage des deux jeunes amoureux. La pièce reflète une
réalité de la société roumaine de la période de l’entre-deux-guerres
lorsque la cohabitation avec les Grecs, Turcs, Juifs, minorités très
présentes dans ce monde balcanique, était tout à fait normale. C’est un
monde d’harmonie, de tolérance entre les gens pour lesquelles l’amitié est
la valeur suprême.
Après le spectacle, voilà les impressions de mes collègues:
"Une pièce exceptionnelle avec des acteurs extraordinaires.", Priscilla Uzum.
"Une distribution exceptionnelle.", Ioana Voideanu
"Un jeu d’acteurs exceptionnel.", Mihaela Modorcea.
"Ce que j’apprécie beaucoup lorsque je vois une pièce de théâtre c’est le naturel de ceux qui sont sur la scène et aussi leur force de faire participer les spectateurs à leur jeu.", Gabriela Modorcea.
"La pièce a été très intéressante; le sujet je le connaissais déjà, mais la représentation a été formidable. J’irai voir toujours des pièces comme celle-ci.", Dana Mariadu.
"Un décor très original par sa mobilité.", Cristina Dumitrescu.
Je vous propose si vous voulez un débat inspiré par ce spectacle, ayant comme point de départ d’une part la tolérance religieuse, d’autre part les spectacles dont le sujet est très connu déjà, mais on y va pour la réalisation.
Stan Marcela
XIIeH (Terminale littéraire)
Collège National "Gheorghe Lazar"
Maria Butsu
IXe D, Collège National "Gheorghe Lazar"
Bucarest
Je vous propose de parler de
"L’école du spectateur de théâtre"
L’évolution des modalités esthétiques dans chaque domaine artistique est
réelle et ne doit pas être démontrée. La peinture et la sculpture, la
musique, la littérature ont renouvelé leurs moyens d’expression ce dernier
siècle, en imposant l’existence d’une école de la réception de l’acte
artistique pour rendre familières au public ces nouvelles modalités.
Ni l’art du spectacle théâtral n’est resté en arrière, même si,
parfois, l’obsession de la modernité cultivée par certains metteurs en
scène a donné naissance soit à la confusion, soit à un goût douteux parmi
les spectateurs.
Le Collège National "Gheorghe Lazar" a montré le long des années
une préoccupation constante pour faire pénétrer dans les salles de théâtre
ses élèves, pour leur plaisir, mais aussi pour leur orientation esthétique en
ce qui concerne l’évolution de l’art scénique. Je pourrai vous donner un
seul exemple. Récemment mes collègues ont assisté au Théâtre National à la
représentation de la pièce de Marivaux, "Le jeu de l’amour et du
hasard", texte ample, à plusieurs plans ce qui entraîne plusieurs
changements de décor. Dans une mise en scène traditionnelle, la
représentation a connu une solution intelligente de diminution substantielle
de la durée du spectacle: un cadre neutre dans lequel les anciens changements
de décor sont suggérés par des effets d’éclairage, chaque tableau de la
pièce bénéficiant des jeux divers de lumière.
A son tour, la musique a souligné la charge émotionnelle du texte: l’attitude
réservée de l’héroïne dans sa relation avec le jeune amoureux déguisé en
domestique, était marquée par des séquences de Peer Gynt, cette musique
froide du Nord conçue par Edouard Greig.
Il est évident que "L’école du spectateur" a intervenu avec les
explications nécessaires, nos élèves étant avertis sur ces nouveaux moyens d’expression
du théâtre, tout comme sur l’équipement technique dont dispose le Théâtre
National de Bucarest.
Le théâtre nous offrira, je suis sûre, toujours des surprises pareilles, des
moments de bonheur.
Professeur coordinateur Roxana Veleanovici
Reçu de Grenade
¿
QUIÉN DIJO MIEDO?El pasado viernes día 7 de
diciembre,asistimos a la representación teatral de ´´DRÁCULA´´ por la
compañía ´´LES INEDITS´´ de Grenoble y ´´TEATRO PARA UN INSTANTE´´de
Granada con dos actores: Richard Navarro, el francés y Miguel Serrano, el
granadino dirigidos por Carlo Colombaïoni, el italiano.
Teníamos el cuerpo preparado para ver una obra de terror y nos sorprendió que
fuera meramente cómica.
Decorado sencillo, música tétrica, y los dos actores interpretaban varios
papeles: Miguel; Drácula, el comisario y un mago y Richard; el compañero de
Miguel en todas las ocasiones.
La actuación, recordando a la típica pareja de payasos, basada sobre el mismo
y la expresión corporal, y con la participación del público en determinadas
ocasiones.
El director de la obra rompe con todos los mitos de la novela original. Es una
costumbre suya, según nos explicó en el coloquio/entrevista que siguió a la
representación. En aquel momento nos dimos cuenta que, aparte de ser unos
excelentes actores eran estupendas personas.